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Le Palais Littéraire et Musical vous recevra le jeudi 3 avril à 20h00 à la Maison de l'avocat du barreau de Paris, pour une conférence avec Daniel Paquet : "Vienne 1900 : une sécession culturelle ? "
Avocat au Barreau de Paris, ancien membre du Conseil de l’Ordre, ancien membre du Conseil National des Barreaux, Daniel Paquet animera sa 5e conférence sous l’égide du Palais Littéraire et Musical.
Après quatre conférences dont le thème était purement musical : « Trois Requiem pour l’éternité » (Berlioz, Verdi et Dvorak) en 2009, « Deux épouses d’immenses compositeurs (Cosima Liszt-Wagner et Alma Mahler) en 2012, « La révolution Beethoven » en 2014, et « Le mythe de Faust en musique » en 2020, Daniel Paquet présente un tableau de Vienne au tournant des 19e et 20e siècles, cette capitale qui vit alors une exceptionnelle effervescence culturelle dans les domaines de l’architecture, de la littérature, de la peinture, du mobilier, de la psychologie et bien sûr de la musique.
Le Palais Littéraire et Musical vous recevra le jeudi 20 mars à 20h00 à la Maison de l'avocat du barreau de Paris, pour un pièce de théâtre avec Hippolyte Wouters : "Haendel ou le Choix d'Hercule"
Hippolyte Wouters est avocat au barreau de Bruxelles depuis 1957.
Il est l'auteur d'une quinzaine de pièces et de plusieurs essais sur l'Humour chez Proust et l'Esprit chez Tocqueville
Il est le créateur du Scrabble duplicate.
Il est Officier des Arts et des Lettres de la République Française
Ses pièces ont été jouées en Europe et aux Etats-Unis
La pièce
Elle met en scène le compositeur tiraillé entre l'indépendance et la sécurité, au beau milieu d'une liaison passionnée et orageuse avec une diva venue d'Italie.
Il vit, il vibre, il aime, il souffre et… il rit !
Le tout baignant dans sa sublime musique
Les comédiens
Haendel : Yves Claessens
Son cuisinier et confident : Stéphane Delvigne
La diva : Geneviève Roeseler
Lord Ashford, ambassadeur du Roi : Hippolyte Wouters
Le Palais littéraire et musical recevra le mardi 25 février à 20h00 à la Maison du barreau de Paris pour une conférence sur "Les Grands Empoisonneuses de l'Histoire" par Gérard Morel.
L'empoisonnement implique la préméditation et la ruse. Mais surtout, il est considéré comme le crime des femmes. C'est la véritable raison pour laquelle il a toujours été réprimé plus sévèrement que le meurtre dans le code pénal.
Il est vrai que les hommes avaient à leur disposition d'autres armes pour éliminer leurs ennemis : l'épée ou le sabre permettaient de donner la mort de façon loyale, en y gagnant au passage un certain prestige.
Tandis que les empoisonneuses, de l’ambitieuse impératrice romaine Agrippine à la futile marquise de Brinvilliers comme de la diabolique Voisin jusqu’à l’austère et pieuse Marie Besnard, forment à travers les siècles une sorte de farandole funèbre aussi fascinante que réprouvée.
Qu’elles soient devenues criminelles par amour, cupidité, ambition ou vengeance, les treize héroïnes évoquées dans ce livre ont toutes suscité la même indignation horrifiée.
Mais on oublie que le poison constituait pour ces dames du passé l’unique moyen de conquérir leur indépendance en se dégageant de l’emprise de leurs pères ou de leurs maris.
Et que les plus coupables d’entre elles n’étaient pas les moins pathétiques.
Condamnées par les tribunaux, caricaturées par la société patriarcale et ignorées du féminisme, les empoisonneuses étaient pourtant les premières femmes à se révolter contre le sort qui leur était dévolu et à avoir décidé de se libérer....
Le conférencier
Gérard Morel a longtemps exercé la profession de « nègre » dans l’édition, c’est-à-dire qu’il « aidait » les célébrités à écrire leurs mémoires. En réalité, il allait vivre trois jours chez elles, le temps de les interroger sur leurs carrières ou leur vie privée, et recueillir un maximum d’anecdotes émouvantes, drôles ou pittoresques, puis il rédigeait le livre de souvenirs dont elles assuraient plus tard la promotion.
Il est ensuite devenu magistrat, actuellement vice-Président au tribunal judiciaire de Pontoise. C’est désormais sous son propre nom qu'il continue d’écrire : il a publié plus de 600 nouvelles dans la presse féminine française ou québécoise, et il a fait paraître sous son nom vingt-cinq romans, historiques ou policiers.
Son dernier livre est consacré aux grandes empoisonneuses de l’Histoire et raconte l’existence de treize d’entre elles. Certaines sont célèbres et incontournables, comme la marquise de Brinvilliers ou Marie Besnard, mais d’autres sont moins connues comme Marie-Catherine d’Aulnoy ou Maria Thérèse Joniaux, et ont pourtant mené des vies tout aussi romanesques.